Thème du neuvième numéro des Cahiers d'Adèle.
L'icône.
L'édito du huitième numéro des Cahiers d'Adèle.
L'ivresse.
L'ivresse était le thème du septième numéro des Cahiers d'Adèle dont voici l'édito.
Le faux
Editos du second numéro des Cahiers d'adèle consacré au "faux".
Le pardon
Edito du numéro six des Cahiers d'Adèle consacré au Pardon en partenariat avec le Marathon des Mots.
La ville.
L'éditorial du cinquième numéro des Cahiers d'Adèle consacré à la ville.
L’invisible, l’érotisme et la pornographie.
Comment l'enfant qui rêvait dans le verre faisait aussi l'expérience de la pornographie.
Les mots invisibles et la schizophrénie du visible
Texte publié dans le premier numéro des Cahiers d'Adèle, L'invisible.
« Je ne vois pas la cachée dans la forêt »
A propos du tableau de Magritte. Texte publié dans le premier numéro des Cahiers d'Adèle.
La Peur.
Aprés L'Invisible, Le Faux, et L'Archive, Les Cahiers d'Adèle s'attaquent à La Peur. Ici, l'édito du dernier numéro. A vos plumes...
Archives.
Pour son troisième numéro en partenariat avec le Marathon des mots, Les cahiers d'Adèle développeront le thème de l'archive.
Ce qu'il faudra faire sur l'idée de monde.
Petit regain d'activité, aprés beaucoup de silence numérique, voici six billets d'un coup et la perspective de ce qui m'intéresse depuis un moment, l'idée de monde.
La question du théâtre chez Daniel Mesguich, 6/6
Pour finir nous allons nous intéresser à l'actualité de Daniel Mesguich, c'est à dire à la mise en scène de la pièce de Jacques Attali, "Du cristal à la fumée", dont la première a eu lieu ce 16 septembre 2008. Cette pièce s'inscrit de manière complexe dans l'approche conceptuelle du théâtre tel que nous l'avons abordé chez Daniel Mesguich. Mais cette complexité risque -aurait pu risquer- d'ouvrir de belles perspectives pour la pensée.
La question du théâtre chez Daniel Mesguich 5/6
Ce sont les dimensions politiques -au sens le plus large du "vivre ensemble"- et culturelles qui vont nous intéresser ici dans le théâtre de Daniel Mesguich.
La question du théâtre chez Daniel Mesguich 4/6
Le simulacre fondant l'effondement du théâtre permet d'interpréter la tragédie comme une joie ; permet donc de nous libérer de la tragédie comme d'un poids trop lourd à porter, si lourd que nous n'avions d'autres choix que de nous en remettre aux dieux.
La question du théâtre chez Daniel Mesguich 3/6
La tragédie nous renvoie à la question du simulacre dévoilant l'essence du théâtre comme l'absence infini d'un fond(s) comme d'une substance, bref à l'absentement de toute essence.
La question du théâtre chez Daniel Mesguich 2/6
C'est par la tragédie que nous lions le théâtre à la vie.
La question du théâtre chez Daniel Mesguich 1/6
Voici une série de billets remaniés à partir d'un projet confisqué de scénario de documentaire sur la personne de Daniel Mesguich et son approche du théâtre.
L'oeuvre d'art ne se regarde pas.
L'oeuvre d'art ne saurait entrer dans l'économie du regard sans s'y perdre elle-même. Au regard porté à l'oeuvre, il faut substituer le voir qui s'en distingue avec autant de force que la constitution ou le faire se distinguent d'un "se laisser faire".
Ce qui fait la valeur subjective d'une oeuvre d'art.
Du cultuel au culturel pour finir à l'esthétisme, l'oeuvre d'art est passée de l'objectif au subjectif, de l'ouverture d'un monde commun à l'intériorité réactive d'un sujet au regard satisfait. Seule compte désormais l'affection produite sur le sujet devenu juge et partie de la valeur artistique. Ce processus a déjà été évoqué ici et le sera encore par la suite. Si de l'art aucun monde ne peut plus advenir, que reste-t-il de l'art ?