L'uSine à gaZ - Archives. - CommentairesPhilosophie - Art - Politique par Jean Martial-Guilhem2024-02-23T18:42:42+00:00Jean Martial-Guilhemurn:md5:ef74bdb5d5863b361d131b0915ba48f7DotclearArchives. - kirljinlyurn:md5:b6adff8dd6bd901e3f992c1e79c27e5d2011-07-29T04:28:38+00:002012-01-16T21:38:10+00:00kirljinly<p>Merci pour cette information interessante<br />
</p>Archives. - jozzy-onlineurn:md5:5671dafaf1fdce70ee3dea38cd29e8bb2010-02-28T21:12:44+00:002010-02-28T21:12:44+00:00jozzy-online<p>BON DEPART<br />
</p>Archives. - trois fois mosbruggerurn:md5:122cd8906f5e02d27ebc2f126ee9fdc12009-06-08T00:43:45+00:002009-06-08T00:43:45+00:00trois fois mosbrugger<p>euh, pardon pour la triplette...problème de computer. putain de progrès!</p>Archives. - Mlle Mosbruggerurn:md5:8888e86cfacc096d86fa92604f714efc2009-06-08T00:41:42+00:002009-06-08T00:41:42+00:00Mlle Mosbrugger<p>Me semble bien que notre civilisation a engendré une forme de servitude où "l'ici"a disparu pour le "maintenant", par un processus de perversion et de destruction de l'histoire. La science devenue scientisme, la raison devenu rationalisme, la propagande prométhéenne du progrès et le consentement à la catastrophe en son nom, Oppenheimer triturant l'atome et explosant l'espace-temps, les délires futuristes, l'expérimentation permanente et systématique sur le vivant ont irrémédiablement blessé le savoir. Sans compter le terrible et redoutablement efficace bénéfice d'une communauté humaine assujettie à l'empire de la peur ( qui dévore l'âme disait si "joliment" Fassbinder). Finalement, la fin de l'histoire semble moins à craindre que la fin de la géographie, la planète restant tout de même un territoire très très limité pour ce Progrès et ses alchimistes. Les limites éclatées, triomphe absolu du nihilisme, " rien est possible" (H. Arendt)</p>Archives. - Mlle Mosbruggerurn:md5:d16ee2436fda66e1f6399dc9fb0189c92009-06-08T00:40:52+00:002009-06-08T00:40:52+00:00Mlle Mosbrugger<p>Me semble bien que notre civilisation a engendré une forme de servitude où "l'ici"a disparu pour le "maintenant", par un processus de perversion et de destruction de l'histoire. La science devenue scientisme, la raison devenu rationalisme, la propagande prométhéenne du progrès et le consentement à la catastrophe en son nom, Oppenheimer triturant l'atome et explosant l'espace-temps, les délires futuristes, l'expérimentation permanente et systématique sur le vivant ont irrémédiablement blessé le savoir. Sans compter le terrible et redoutablement efficace bénéfice d'une communauté humaine assujettie à l'empire de la peur ( qui dévore l'âme disait si "joliment" Fassbinder). Finalement, la fin de l'histoire semble moins à craindre que la fin de la géographie, la planète restant tout de même un territoire très très limité pour ce Progrès et ses alchimistes. Les limites éclatées, triomphe absolu du nihilisme, " rien est possible" (H. Arendt)</p>Archives. - Mlle Mosbruggerurn:md5:7f27e1c91148f32b838b5fd03201ca8f2009-06-08T00:40:20+00:002009-06-08T00:40:20+00:00Mlle Mosbrugger<p>Me semble bien que notre civilisation a engendré une forme de servitude où "l'ici"a disparu pour le "maintenant", par un processus de perversion et de destruction de l'histoire. La science devenue scientisme, la raison devenu rationalisme, la propagande prométhéenne du progrès et le consentement à la catastrophe en son nom, Oppenheimer triturant l'atome et explosant l'espace-temps, les délires futuristes, l'expérimentation permanente et systématique sur le vivant ont irrémédiablement blessé le savoir. Sans compter le terrible et redoutablement efficace bénéfice d'une communauté humaine assujettie à l'empire de la peur ( qui dévore l'âme disait si "joliment" Fassbinder). Finalement, la fin de l'histoire semble moins à craindre que la fin de la géographie, la planète restant tout de même un territoire très très limité pour ce Progrès et ses alchimistes. Les limites éclatées, triomphe absolu du nihilisme, " rien est possible" (H. Arendt)</p>Archives. - jeanurn:md5:4875e1724d1f7524fd1ef28cae7604e62009-05-22T13:57:36+00:002009-05-22T13:57:36+00:00jean<p>Le présent est une être de raison, qui n'a pas d'existence réelle. Si le présent existe le mouvement est impensable. S'il y a du devenir, il n'y a pas de présent. Ce que nous nommons présent n'est que la présence virtuelle du tout juste passé et du proche avenir. Le présent c'est virtualité du passé et du futur.</p>Archives. - Philippeurn:md5:09907baca780b5d221c001db1861199a2009-05-18T14:18:06+00:002009-05-18T14:18:06+00:00Philippe<p>Dans les archives de notre blog "Les Sans-culottes", je relève ce commentaire:"Si l'on s'interroge sur la place du véritable présent il certain qu'on s'en éloigne", suivant ce message:<br />
"Où est le véritable présent?<br />
"En fait, le présent, on ne le voit que les yeux fermés: tu sais les poussières que l'on voit quand la lumière traverse les paupières, voilà le présent".<br />
From a SMS de Stéphane Pelletier, le 15 mai 2009, à 11h57.<br />
Amis philosophes, qu'en penser?</p>