L’être se dit-il en un seul et même sens de tout ce dont il se dit ou bien en plusieurs sens de tout ce dont il se dit ? L’être est-il univoque ou bien équivoque ? On a vu dans le billet précédent que d’une part l’équivocité de l’être mettait en péril la possibilité même d’une ontologie ayant pour objet une signification une de l’être, mais que d’autre part l’univocité -comme possibilté d’une ontologie- mettait pour sa part en péril la possibilité de toute théologie. Comment en effet serait-il possible de penser l’être de Dieu sur le même plan que l’être des créatures. L’être de Dieu ne peut être dit en un sens identique à l’être des créatures. Comment alors penser la possibilité d’une ontologie qui ne mette pas en péril une théologie ?
Philosophie
L'ontologie 1/2 : Problème de l'unité de l'être.
De la roue ou cercle passe l'être.
Le rien ne cesse de se manifester.
Les mathématiques sont elles des normes de vérité ?
Le réel et le virtuel
Dieu est mort 1/4
Dieu est mort 2/4
Dieu est mort 3/4
Dieu est mort 4/4
La philosophie virale.
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