L’idée de Deleuze, que toute révolution tourne mal trouve un écho dans l’analyse foucalienne du pouvoir. Le pouvoir déborde toute forme spécifique sur laquelle pourrait jouer une révolution. Etant protéiforme, le pouvoir se dérobe à toute tentative de renversement et de métamorphose rationnelle. Il est emprise sur laquelle nous n’avons nulle emprise.
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