Bonne année poto. un petit passage intempestif et qu'entends-je?Qu'est-ce que tu racontes??? T'es fatigué ou quoi?
La philosophie est pour le "vrai philosphe" une sotériologie. Tu renonces à ton propre salut? Cela n'a pas de sens.
Penser, exercer son jugement critique, aiguiser son discernement, c'est s'élever vers plus d'humanité, c'est faire éclater le point de vue étriqué et borné. Fermer cet espace de discussion, dans lequel certes tu t'exposes, c'est retrecir encore plus le mouvement d'ouverture au profit de l'enfermement, de l'adhésion naive. Je te souhaite pour cette année le courage et la perséverance. Ciao.
Merci à vous deux et bonne année puisqu'il est encore temps. Fatigué je sais pas. Mais ça fonctionne pas comme je le voudrais. Pas assez d'effervessence etc. Enfin on verra.
A mon avis, si tu veux plus d'effervescence sur ce blog, tu dois le nourrir de textes plus fluides et moins "universitaires", c'est-à-dire sans cesse référentiels. Enfin je dis ça, je dis rien. Sinon, t'inquiète, le mois de janvier est souvent propice au blues. Je pense (j'espère) que ça va vite repartir.
ça enterre tout, la drogue et l'aspirine
Les épinards, la Schnouff et la Badoit
C'est bien plus bath que l'foie gras en terrine
Car c'est moins cher et ça n'alourdit pas :
Une bonne paire de claques dans la gueule
Un bon coup d'savate dans les fesses
Un marron sur les mandibules
ça te r'f'ra une deuxième jeunesse
Une bonne paire de claque dans la gueule
Un direct au creux d'lestomac
Les orteils coincés sous une meules
Un coup d'pompe en plein tagada
Une bonne paire de claques dans la gueule
Et la vie reprend tout son prix
Chaque matin, quand on se sent seul
Claquons nous la gueule entre amis !
dommage que tu arrêtes ce blog, il m'apprenait beaucoup surtout pour mes dissert' de philo...et pour ma culture générale
"Il ne faut pas tarder à philosopher", dit épicure, je pense donc qu'il ne faut jamais cesser de philosopher...même si le monde dans lequel on vit actuellement n'est pas propice à la philosophie...
mon pauvre ami, on dirait bien que tu es entré de plein pied dans la consommation de l'idée. La loi des statistiques te sied-elle tant ? Il me semble que tu fais ça pour le plaisir, comme chantait un certain romantique des années 80. Alors arrête un peu de te plaindre, et remets-toi au boulot. Boudiou.
rien à voir avec les statistiques encore moins avec leurs lois. c'est comme s'appercevoir qu'il n'y a personne lorsque l'on pensait parler à quelqu'un. et bien à moins d'être fou, on cesse de parler. il peut y avoir dix mille personnes, elles se réduisent à rien s'il ne se passe rien.
Ok, mais la façon dont tu fais tes articles, penses-tu qu'elle amène nécessairement des réponses ? Es-tu allé sur les autres blogs qui proposent des réflexions du même ordre, as-tu discuté, laissé des commentaires, proposé des liens vers tes propres réflexions ?
Non mais c'est pas important. ça me fait penser aux sites de musiques, sur lesquels un groupe n'a de valeurs qu'en proportion du trafic, du transit, du buzz. qu'improte le qualitatif dès lors qu'il y a le quantitatif. tout ceci m'ennuie profondément. et au-delà,surtout, c'est mauvais signe.
ceci n'est pas la réponse à cela. non je ne circule pas trop sur le net, et je n'y laisse pas de trace. non, il s'agissait de la victoire de la quantité sur la qualité, c'est ceci qui me navrait.
D'accord. J'avais compris de travers. Mais permets-moi de continuer à te taquiner, et de te citer à nouveau :
"Je n'ai rien à gagner à m'adonner à de telles activités pour un retour d'intérêt si faible."
C'est sur ce constat que je rebondis. Pourquoi voudrais-tu avoir quelque chose à gagner ? Ne prends-tu aucun plaisir à l'enrichissement de ce blog ? La réponse est bien-entendu dans le nouveau souffle.
"A la vitesse et dans la direction où va le monde, de la philosophie il n'est plus besoin."
Ne penses-tu pas que chaque siècle a vu son philosophe réagir de cette façon ? Au contraire, c'est dans ces moments où tout te semble définitif qu'il faut reprendre le "combat".
j'ai lu récemment un texte écrit par un professeur de philosophie dont j'ai oublié le nom -il me pardonnera- dans lequel il exposait brillamment l'intérêt de sa discipline. Ce que j'ai retenu de son propos peut être résumé ainsi : face à l'effondrement des valeurs qui affecte notre monde moderne et à l'hégémonie de la science qui dicte LA connaissance du monde, etc, il n'est plus que jamais un devoir de philosopher. Alors, lorsque tu dis " Je n'ai rien à gagner à m'adonner à de telles activités pour un retour d'intérêt si faible. [...]A la vitesse et dans la direction où va le monde, de la philosophie il n'ait plus besoin" je répondrais le contraire, non pas que je souhaite te contredire une fois de plus, mais affirmer que la philosophie est vitale, au sens le plus littéral du terme, nécessaire, essentielle à la vie. D'ailleurs, ton blog prouve bien que j'ai raison, puisque à ce jour, ton billet "fermeture définitive" est obsolète...bien heureusement.
Alors, un mot de conclusion, un mot simple et le plus juste me semble t-il...
Merci Jean.
Dommage que tu veuilles arrêter, pour une fois que j'avais trouvé un blog sympa et intéressant.
Bonne continuation à toi en tout cas
Bonne année poto. un petit passage intempestif et qu'entends-je?Qu'est-ce que tu racontes??? T'es fatigué ou quoi?
La philosophie est pour le "vrai philosphe" une sotériologie. Tu renonces à ton propre salut? Cela n'a pas de sens.
Penser, exercer son jugement critique, aiguiser son discernement, c'est s'élever vers plus d'humanité, c'est faire éclater le point de vue étriqué et borné. Fermer cet espace de discussion, dans lequel certes tu t'exposes, c'est retrecir encore plus le mouvement d'ouverture au profit de l'enfermement, de l'adhésion naive. Je te souhaite pour cette année le courage et la perséverance. Ciao.
Merci à vous deux et bonne année puisqu'il est encore temps. Fatigué je sais pas. Mais ça fonctionne pas comme je le voudrais. Pas assez d'effervessence etc. Enfin on verra.
A mon avis, si tu veux plus d'effervescence sur ce blog, tu dois le nourrir de textes plus fluides et moins "universitaires", c'est-à-dire sans cesse référentiels. Enfin je dis ça, je dis rien. Sinon, t'inquiète, le mois de janvier est souvent propice au blues. Je pense (j'espère) que ça va vite repartir.
P R E S C R I P T I O N
ça enterre tout, la drogue et l'aspirine
Les épinards, la Schnouff et la Badoit
C'est bien plus bath que l'foie gras en terrine
Car c'est moins cher et ça n'alourdit pas :
Une bonne paire de claques dans la gueule
Un bon coup d'savate dans les fesses
Un marron sur les mandibules
ça te r'f'ra une deuxième jeunesse
Une bonne paire de claque dans la gueule
Un direct au creux d'lestomac
Les orteils coincés sous une meules
Un coup d'pompe en plein tagada
Une bonne paire de claques dans la gueule
Et la vie reprend tout son prix
Chaque matin, quand on se sent seul
Claquons nous la gueule entre amis !
Avec l'aide de Boris Vian, bien à toi, ami.
Merde, mine de rien ça fait du bien. Merci à toi alors, l'ami...
dommage que tu arrêtes ce blog, il m'apprenait beaucoup surtout pour mes dissert' de philo...et pour ma culture générale
"Il ne faut pas tarder à philosopher", dit épicure, je pense donc qu'il ne faut jamais cesser de philosopher...même si le monde dans lequel on vit actuellement n'est pas propice à la philosophie...
bonne continuation et merci
Merci Sophie. Si tout ça a pu et peut encore te servir, j'en suis ravi.
a bientôt
mon pauvre ami, on dirait bien que tu es entré de plein pied dans la consommation de l'idée. La loi des statistiques te sied-elle tant ? Il me semble que tu fais ça pour le plaisir, comme chantait un certain romantique des années 80. Alors arrête un peu de te plaindre, et remets-toi au boulot. Boudiou.
rien à voir avec les statistiques encore moins avec leurs lois. c'est comme s'appercevoir qu'il n'y a personne lorsque l'on pensait parler à quelqu'un. et bien à moins d'être fou, on cesse de parler. il peut y avoir dix mille personnes, elles se réduisent à rien s'il ne se passe rien.
Ok, mais la façon dont tu fais tes articles, penses-tu qu'elle amène nécessairement des réponses ? Es-tu allé sur les autres blogs qui proposent des réflexions du même ordre, as-tu discuté, laissé des commentaires, proposé des liens vers tes propres réflexions ?
Non mais c'est pas important. ça me fait penser aux sites de musiques, sur lesquels un groupe n'a de valeurs qu'en proportion du trafic, du transit, du buzz. qu'improte le qualitatif dès lors qu'il y a le quantitatif. tout ceci m'ennuie profondément. et au-delà,surtout, c'est mauvais signe.
"Es-tu allé sur les autres blogs qui proposent des réflexions du même ordre, as-tu discuté, laissé des commentaires ?"
"tout ceci m'ennuie profondément. et au-delà, surtout, c'est mauvais signe."
Mmh ...
ceci n'est pas la réponse à cela. non je ne circule pas trop sur le net, et je n'y laisse pas de trace. non, il s'agissait de la victoire de la quantité sur la qualité, c'est ceci qui me navrait.
D'accord. J'avais compris de travers. Mais permets-moi de continuer à te taquiner, et de te citer à nouveau :
"Je n'ai rien à gagner à m'adonner à de telles activités pour un retour d'intérêt si faible."
C'est sur ce constat que je rebondis. Pourquoi voudrais-tu avoir quelque chose à gagner ? Ne prends-tu aucun plaisir à l'enrichissement de ce blog ? La réponse est bien-entendu dans le nouveau souffle.
"A la vitesse et dans la direction où va le monde, de la philosophie il n'est plus besoin."
Ne penses-tu pas que chaque siècle a vu son philosophe réagir de cette façon ? Au contraire, c'est dans ces moments où tout te semble définitif qu'il faut reprendre le "combat".
oui peut être être pour le début du commentaire, mais pour le reste, il faut des parties prenantes au combat, et le désert n'en est pas une.
tiens, puisque je suis en train de lire un entretien avec Jacques Bouveresse, je te donne l'adresse, si tu veux y jeter un oeil.
institut.fsu.fr/nvxregard...
j'irais jeter un oeil si le temps m'est laissé. c'est bien ?
Ouais, c'est pas mal. Il y a quelques raisonnements que l'on entend rarement de la bouche de ce genre de personnage.
j'ai lu récemment un texte écrit par un professeur de philosophie dont j'ai oublié le nom -il me pardonnera- dans lequel il exposait brillamment l'intérêt de sa discipline. Ce que j'ai retenu de son propos peut être résumé ainsi : face à l'effondrement des valeurs qui affecte notre monde moderne et à l'hégémonie de la science qui dicte LA connaissance du monde, etc, il n'est plus que jamais un devoir de philosopher. Alors, lorsque tu dis " Je n'ai rien à gagner à m'adonner à de telles activités pour un retour d'intérêt si faible. [...]A la vitesse et dans la direction où va le monde, de la philosophie il n'ait plus besoin" je répondrais le contraire, non pas que je souhaite te contredire une fois de plus, mais affirmer que la philosophie est vitale, au sens le plus littéral du terme, nécessaire, essentielle à la vie. D'ailleurs, ton blog prouve bien que j'ai raison, puisque à ce jour, ton billet "fermeture définitive" est obsolète...bien heureusement.
Alors, un mot de conclusion, un mot simple et le plus juste me semble t-il...
Merci Jean.
wouha, merci beaucoup ! je suis a priori tout à fait d'accord avec ce que tu rapportes de l'article lu et je suis content que tout ceci t'intéresse.