Il fallait bien travailler sa terre avant de la semer dès l’usage à l’âge de la technique, qu’y pousse un monde. La culture dans la trace du sillon, la première écriture déjà.
Mais c’est du roc que chante le poème.
Sèche et têtue comme elle est grasse l’herbe sur la roche stérile aux richesses du vent, lentes et persistantes sur la croute, chante la solitude du poème
et les larmes du vent portent ses semences plus loin dans la terre bien travaillée.